Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 ● .DOUBLE VISION Feat Pinocchio . (test RP)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
A. Snape Mccalister
A. Snape Mccalister
« p'tit nouveau appeuré. »

• Crédits : MIsery Angel
• DS rendus : 10
• L'élève est là depuis : 25/08/2010


« 21 et ses conneries (a) »
Pseudo complet :
Année d'étude : en quelle année es-tu ?
Cursus choisi:

● .DOUBLE VISION Feat Pinocchio . (test RP) _
MessageSujet: ● .DOUBLE VISION Feat Pinocchio . (test RP)   ● .DOUBLE VISION Feat Pinocchio . (test RP) EmptyVen 27 Aoû - 18:10

● .DOUBLE VISION Feat Pinocchio . (test RP) Signwillacesar2
.DOUBLE VISION.
→ PINOCCHIO & SNAPE ←

On dit souvent que les plus grands salaud au monde on un cœur d’or enfouit dans un bloque de glace qui ne demande qu’à fondre. On dit aussi que quelqu’un de désagréable est ainsi car il a vécu des évènements troublant dans sa vie et on dit également que les gens méchants se cache derrière ce masque pour ne pas paraitre faible. Soyons juste un instant réaliste, pourquoi montrer une facette qui n’est pas la notre, alors qu’être soi même c’est plus simple ? Moi personnellement je suis peut être le plus grand salaud au monde, mais je l’assume et je ne me cache pas derrière des phrases complétement débile pour qu’on m’aime bien. Etre moi-même c’est être désagréable, être arrogant et très impulsif. J’adore parlé mal et j’adore être celui que je suis et je ne pense pas avoir un cœur enfouit dans je ne sais quoi au fond de moi. Mon cœur c’est de la pierre et croyez le ou non mon cœur n’est pas fait pour être brisé. Mon cœur est juste la chose qui me fait vivre sinon il ne sert à rien, même pas à aimer. A quoi bon aimer une personne de tout notre cœur ? Nous savons déjà comment ça va se terminé et comme des cons nés sur la planète des singes vous tombez amoureux puis au final vous tomber en sanglots. Ouais c’est ça l’amour c’est des larmes, c’est de la tristesse et c’est surtout la pire chose qui existe ! L’amour c’est comme la vie, ça meurt au bout d’un moment ! Ouais je sais ce que vous pensez, je suis qu’un sans cœur qui ne sais pas ce qu’il dit car personne ne l’a jamais aimer et bla bla bla. Parlez autant que vous voulez et le jour ou votre sois disant amoureux vous lâchera vous verrez que j’avais raison et si par malheur il reste avec vous toute votre vie en vous répétant je t’aime sans arrêt c’est qu’il se fou de votre gueule. N’allez pas croire qu’un mec peut se contenter d’une seule fille toute sa vie et sûrement pas à l’âge de 22 ans. Vous l’aurez compris moi et l’amour c’est égale à rien du tout !

Ce matin je m’étais levé avec le même état d’esprit que les autres matins, étant ici pour entamer ma seconde année je n’avais pas cet impression d’être complétement inconnue avec le lieu. Je me sentais comme chez moi à Londres et c’est comme si j’avais toujours vécu ici. Mes yeux fatigué de la veille venais tout juste de s’ouvrir, mon bayement avais résonner dans toute la pièce étant ma chambre. Mon corps fatiguer se trouvais allonger comme mort sur mon lit une place. Ce matin j’étais seul, surprenant non ? C’est juste que je n’accepte pas qu’une fille reste toute la nuit dans mon pieu car si je lui proposais de rester jusqu’au lendemain matin elle pourrait prendre cela comme un engagement de ma part puis elle me dira on s’appelle et elle m’harcèlera de message alors que je ne veux pas lui parler juste un coup d’un soir ! J’avais donc demander à la charmante demoiselle avec qui j’avais passé un moment d’enfer de ramasser ses affaires et de s’en aller à quatre heures du matin, ouais je suis pas gentil ! Une fois mon cul hors de mon lit je resta figé face au grand miroirs étant face à mon lit et je vous arrête tout de suite il n’est pas là pour ce que vous pensez, enfin surtout à ce que je pense moi. Il est là pour .. enfin si il est quand même là pour que je m’admire pendant, vous savez de quoi je veux parler bien sûr. Me regardant dans le miroirs je pouvais apercevoir des cernes en dessous de mes yeux, mes cheveux était désordonné et je dégageais une odeur de chaussette mouiller. Je retira donc mon caleçon et sans attendre mes petits pieds se dirigea vers la salle de bain ou je pris une douche bien chaude et ou je me lava convenablement.

Après tout mes petits soins du matin en tant que mec qui se respecte je me vêtis d’un caleçon à carreau rose et noir, ainsi qu’un jean slim noir en laissant un peu mon caleçon ressortir. Je mis une chemise noir avec les boutons roses, ouais c’est rose et c’est mignon et si vous mettez de côté votre fierté vous saurez que le rose est un bon choix ! Je mis ensuite des chaussures genre classique puis d’un air souriant j’attrapa mon portable ainsi que mon portefeuille. Je refis un passage devant le miroirs en souriant : « Tu sais que tes beau toi, tes genre le plus beau mec que j’ai vu, normale tu es moi ! » Oui bon je sais, c’est ridicule de se parler à soi même, mais que voulez vous que je dise ? Je suis beau et je le sais donc la meilleur façon c’est de me le dire tout les matins pour commencer la journée comme il faut. Sortant de l’internat de l’université je longea les longs couloirs pour rejoindre la sortie, comme chaque matin les regards se fixais sûr moi, bien sûr les gens ne devaient pas dire que du bien de moi, mais une chose était sûr c’est qu’on parle de moi et ça j’adore ! Je me retrouva très vite à l’extérieur ou je leva les yeux au ciel, le temps étaient pas top, mais n’était pas non plus catastrophique. Posant mes belles fesses sur un banc à l’extérieur je passa un petit moment là assis seul à regardé les gens, ou plutôt les filles passées. Au bout d’un moment un jolie corps bien foutu s’arrêta devant moi et me tendis un café avec un petit pain. «T’en a mis du temps, tes aller chercher ou se putain de café, en Alaska ? » «Tu pourrais dire merci ! » Je fis un sourires assez amusé. Merci ? que voulez dire ce mots ? La demoiselle pris place à côté de moi et c’est ainsi que je pris mon petit déjeuner. Qui est cette fille ? Juste une fille que je me tape une fois par semaine lorsque son petit copain est à son entrainement de tir et me sert également d’amie la journée. Aurez vous cru que je n’avais aucun ami ? Voyons j’ai peut être un caractère de cochon, mais les gens aiment me détesté ! ««Alan part à New York ce week end, on pourrais hum, je sais pas passer le week end ensemble ? » Je fis alors mes gros yeux habituel, quoi elle voulais que je passe mon week end avec elle ? Passer le week end en compagnie d’une seule fille c’était trop ! «C’est pas que je veux pas, mais je n’ai pas que ça à faire de passer le week end avec toi, tes pas assez jolie pour ça .. » Je me leva et la regarda en souriant. «Par contre tes bonne ! » Je lui fis un clin d’œil et sans attendre je pris la fuite pour faire ce que je fais assez souvent, travailler mon magnifique corps. Direction le complexe sportif !

Je mis peu de temps à me trouver dans les vestiaires, j’ouvris mon casier ou je pris un short et un débardeur. Retirant mes vêtement à une vitesse lumière j’enfila mon débardeur noir me collant à la peau pour montrer comme il faut ma musculature et mon short noir de sport. Une fois mes basket aux pieds, je couru jusqu’à la salle de musculation, un petit échauffement ne fait pas de mal n’est ce pas ? J’adorais venir vers les alentours de 10h, la salle était peu fréquenter et j’étais donc tranquille pour faire mes exercices habituelle, mais je ne me doutais pas une seconde que ma matinée allait très vite être chambouler. Oublier ma bouteille d’eau dans les vestiaire. Je me mis encore une fois à courir pour rejoindre les vestiaire, des vestiaire que je ne vis pas de si tôt. En sortant de la salle je fonça dans une personne qui se retrouva très vite le derrière sur le sol. Je baissa alors la tête en souriant et aperçu mademoiselle qui l’avais laissé planter comme un con durant les vacances alors que je l’avais embrasser. «Waouh, je crois que t’a quelque kilos à perdre j’ai sentis le sol trembler, mais genre abusé ! » dis-je tout en rigolant et en la regardant. «Bon t’attend quoi pou te lever ? Une grue ?! » Ouais j’étais genre trop méchant avec elle, mais si vous me connaissiez vous saurez que je suis toujours comme ça, un mec désagréable qui se fou vraiment de blaisé les autres.


Revenir en haut Aller en bas
M. Pinocchio Da Valle
M. Pinocchio Da Valle
« chômeur motivé. »

• Crédits : bollycreations
• DS rendus : 69
• L'élève est là depuis : 22/08/2010


« 21 et ses conneries (a) »
Pseudo complet : Maxynne Amarilli Da Valle - Pinocchio
Année d'étude : Deuxième année
Cursus choisi: parcours médical.

● .DOUBLE VISION Feat Pinocchio . (test RP) _
MessageSujet: Re: ● .DOUBLE VISION Feat Pinocchio . (test RP)   ● .DOUBLE VISION Feat Pinocchio . (test RP) EmptyDim 29 Aoû - 22:36

Éblouie par un regard, je frissonnai à son contact. Et sa chaleur m’envoûta, son parfum estompa mes pensées.
Mais à l’intérieur, je suffoquai. Il lâcha prise, chutait ainsi un espoir confus.

Il m’a privée de l’ouïe, je lui dérobe la vue. Et d’aussi loin, les trois autres sens sont inutiles, croyez-moi.

***

Une fois de plus, le vibreur de mon portable résonnant à la surface de mon bureau me fit sortir de mes pensées. L’objet de mes divagations intenses m’échappait déjà, preuve d’un besoin de sommeil dont le poids considérable de mes paupières suffisait cependant à me le faire comprendre. Les pupilles plus que dilatées, je jetai un coup d’œil furtif à mon réveil dont l’heure clignotante rouge annonçait qu’il était déjà près de trois heures du matin. D’ici trois petites heures, je devrai me lever pour entamer une nouvelle journée qui risquait sans aucun doute d’être particulièrement longue étant donné le sommeil si peu réparateur que je serai peut-être capable de me procurer. Je reportai mon attention sur mon devoir de biologie, mes yeux quelque peu gonflés me brouillant la vue, m’empêchant de discerner convenablement les détails les plus minimes de mon croquis. Ce devoir n’était même pas à rendre pour le lendemain mais je détestais commencer quelque chose et ne pas le terminer dans ma lancée, ayant le sentiment que cela me poussait à perdre une partie de ma concentration acquise et ainsi à perdre un temps fou une fois que je m’y remettais. Ainsi, j’avais passé plus de la moitié de la nuit à travailler, mes lunettes de vue délicatement posée sur mon nez me chatouillant de temps à autre, m’obligeant à éternuer quelques fois. Je n’avais pas la moindre idée de l’endroit où j’avais pu attraper une quelconque grippe étant donné le temps magnifique qu’il faisait à Ottawa en cette fin de saison estivale mais c’était bel et bien le cas et ça ne m’aidait en rien à finir mon travail le plus tôt possible. Ereintée, je me sentis divaguer une nouvelle fois. Cette fois, je n’aurai même pas le temps de me demander à quoi mon esprit s’était empressé de penser, la sonnerie de mon réveil m’heurta les tympans, annonce bruyante d’un tout nouveau soleil.

Je mis assez peu de temps à me préparer, filant sous la douche en espérant que le contact de l’eau avec mon visage suffirait à raviver en moi un tant soit peu de motivation, ce qui d’ailleurs fut le cas pour mon plus grand soulagement. J’avais un programme assez chargé ce matin bien que n’ayant pas de cours en rapport avec mon programme. J’avais besoin de ce genre de journée pour décompresser, aller courir quelques kilomètres avant de me rendre à mon entrainement sportif hebdomadaire. Je pratiquais deux spots très régulièrement, un plus que l’autre ainsi qu’un troisième que je m’efforçais de continuer bien que le temps me manquait énormément de temps à autres, notamment à l’approche des examens. J’ouvrais le volet de ma chambre et découvrait, les yeux légèrement ébloui un ciel magnifique parsemé de quelques tâches blanches apportant un peu plus de beauté au paysage qui s’offrait ce matin devant moi. Les patins dans mon sac de sport, je sortis vers sept heures de ma chambre, aussi silencieuse que possible bien que certains élèvent se bousculaient déjà dans les couloirs dont même certains garçons, s’échappant sans aucune discrétion de la chambre de leur petite amie (ou coup d’un soir, allez savoir) avec qui ils venaient de passer la nuit.

Le complexe sportif était assez peuplé déjà pour l’heure qu’il était. Bien que la plupart des étudiants passaient leurs soirées à boire et fumer toutes sortes de substances plus illégales les unes que les autres dans la chambre de l’un d’entre eux, beaucoup parmi les plus sportifs appréciaient l’air matinal pour entreprendre leur entrainements quotidiens. Le patinage était le seul sport que je pratiquais tous les jours. Les entrainements de tennis n’avaient lieu que les mardis et vendredis et ceux de trampoline étaient fixés aléatoirement deux fois par mois. Certains pratiquaient le sport bien plus que moi encore, mais eux désiraient en faire leur vie tandis que je devais m’œuvrer à réussir mes études de médecine à côté de tout cela, sans prendre en plus en compte les histoires de cheerleaders qui très bientôt allaient refaire surface vu l’approche de l’ouverture de la nouvelle saison sportive.

La patinoire était vide lorsque j’arrivai à l’intérieur cependant, ce qui me fit sourire malgré le courant d’air extrêmement frais que je devais m’efforcer de goûter, contrastant affreusement avec la température très supportable pour une heure aussi matinale qui régnait à l’extérieur. Durant quelques dizaines de minutes, j’allongeai avec plaisir ma durée d’échauffement, entreprenant boucles après boucles jusqu’à ce que celles-ci soient aussi parfaites que j’étais désormais capable de les réaliser. Celles-ci me permettaient de me sentir chaque fois bien dans mes patins avant d’entreprendre quelque chose de plus compliqué car elles étaient la base de tout.

« Bah alors Max’, t’es bien matinale ! » Je souris, reconnaissant la voix de mon entraineur, Parker résonnant dans la vaste pièce et dérapa avec grâce devant lui.

« Ça fait un moment que je suis arrivée, j’aime bien quand c’est désert. »
« T’es bien échauffée alors ? »
« Oui. »
« C’est bien. Fais-moi le tour entre cinq fois. »

Je ne rechignai pas, ne soupirant ni ne grimaçant, entreprenant de répondre à sa demande. Il était toujours comme cela et j’avais parfaitement conscience que ce n’était pas demain la veille qu’une telle chose changerait. Pendant plus de deux heures, toute ma vie ne tourna plus qu’autour des mots boucles, piqués et sauts. Je quittai la rampe l’air fatigué, mais j’imaginai que ça n’avait pas uniquement un rapport avec mon entrainement si ce n’était avec ma nuit très écourtée. Alors que je retirais mes patins, Parker vint me prévenir qu’il me retrouvait au vestiaire, ayant deux ou trois choses à régler avec l’un de ses élèves. Je quittai donc la glace, retirant mes patins et empruntant en trottinant le couloir menant aux vestiaires.

En une demi-seconde, mes coudes se retrouvèrent sur le sol de ceux-ci, certainement bien amochée étant donné la grimace que m’arracha le choc entre eux et la pierre recouvrant le sol du couloir. A peine eu-je le temps de reprendre mes esprits quelque peu brouillés par ma chute que j’entendis une voix plutôt familière résonner à mes oreilles, bien que je n’eusse pas eu l’occasion de l’entendre depuis bien des semaines maintenant.

« Waouh, je crois que t’a quelque kilos à perdre j’ai sentis le sol trembler, mais genre abusé ! » Un léger sourire se dessina sur mon visage. Du sarcasme. Venant de sa part, ça ne m’étonnait d’aucune façon. Depuis le jour où il m’avait embrassé, rien n’avait plus été pareil entre lui et moi. Pourtant, j’avais parfaite conscience du fait qu’il n’était pas donné à tout le monde d’être proche d’un homme tel qu’Arseniy de par son caractère mais il ne m’avait pas fallu plus d’un baiser pour m’éloigner de lui. Nous nous ressemblions énormément sous certains points bien que cela ne soit qu’une image de mon côté et malgré que bien des aspects de son caractère m’exaspéraient, je sentais qu’il n’était pas impossible que je m’attache à une personne comme lui, ce que je ne désirais pas. Je n’avais pas besoin d’un mec, pas besoin de m’attacher. Non seulement j’avais énormément d’autres choses à penser mais j’avais peur qu’un quelconque attachement me rende vulnérable. Aujourd’hui, plus aucun rapprochement entre lui et moi ne me paraissait possible mais j’avais de toute évidence lourdement heurté sa fierté. Il me haïssait. Et plus c’était le cas, plus ça devenait réciproque. Je levai les yeux, un sourire en coin, le regard animé d’une lueur joueuse qu’il me connaissait sans doute très bien. « C’est la sensation que te donne ton petit cerveau, lorsqu’il roule dans ton gros crâne. » « Bon t’attends quoi pour te lever ? Une grue ? » Je levais les yeux au ciel puis replongea mon regard dans le sien. « Je ne sais pas trop, les mecs sympas aident les filles à terre. Oh pardon j’oubliais, t’en fais pas partie. »

Une seconde seulement me suffit à me remettre sur mes deux pieds, tentant de ne pas grimacer en sentant mes coudes me piquer. Je n’y jetais même pas un coup d’œil bien qu’ils m’étaient douloureux, me refusant à rompre le lien entre mon regard et celui de mon interlocuteur. Sur un ton amusé, je repris :

« Que me vaut le plaisir de t’entendre m’adresser la parole ? Je te croyais devenu muet. »

Excuse moi vraiment pour le temps que j'ai mis à répondre c'était tout sauf prévu >< hier j'aurais dû pouvoir mais j'me suis endormie et le soir j'étais crevée j'arrivais pas à écrire x_x et aujourd'hui j'étais chez ma meilleure amie >< J'espère que tu m'en veux pas trop, désolée. j'espère que ma réponse rattrape mon retard (:
Revenir en haut Aller en bas
 

● .DOUBLE VISION Feat Pinocchio . (test RP)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: laissons-nous aller au jeu ! :: ► c'est l'heure d'aller à l'université ! :: « salle de musculation. »-